Un soir de solitude, de grande solitude, j'ai ressenti le besoin de jouer du piano comme pour me consoler. J'ai pris la peine d'activer l'enregistrement de ce que je jouais. Il en est sorti six improvisations, toutes en Do mineur, une facilité que je me suis accordé car je ne suis pas un virtuose du piano. À ce moment là je ressentais un grand désarroi et il est possible que cela se ressente à l'écoute. Cependant, aujourd'hui lorsque je réécoute ces morceaux, je ressens, grâce à la lenteur du jeu, un certain apaisement ; bien que ces morceaux puissent être considérés comme tristes.
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Benoît Rouits - Parler 1 | |
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